Onze tours existent encore contribuant à souligner le caractère moyenâgeux de la vieille ville.
Aussi appelée « grande porte », la porte d’Alençon était flanquée de deux tours, dont il reste actuellement celle de gauche, sur laquelle on peut encore voir aujourd’hui la naissance de l’arc en plein scintre qui la surmontait.
De la Porte de la Brière, il ne reste plus que la base de deux grosses tours jumelées, dites de Godras. Elles étaient en plein scintre et ouvraient sur un pont-levis qui enjambait le fossé creusé, à l’est, au pied de la muraille. Cette entrée fut déclassée au cours du XIVe siècle au profit de la porte d’Alençon, moins vulnérable.
De cette porte, il subsiste une tour, située en haut de la rue du même nom qui va de l’actuelle église Saint-Julien vers le hameau du Pissot.
Sitée au milieu de la rue de la Poterne, se trouve cette autre tour, relativement bien conservée.
C’est sur le côté sud, rue des Fossés-Plisson que les tours d’enceinte sont les mieux conservées.
A l’origine, chaque tour portait un nom, qui correspondait souvent aux seigneurs, qui avaient la charge de les défendre. Aujourd’hui elles sont désignées par le nom des anciens propriétaires.
Cette tour sert d’habitation.
Située près de la rue du Palais de Justice, cette belle tour sert également d’habitation.
Cette tour est la mieux conservée de toutes les tours car elle possède encore la quasi totalité de ses mâchicoulis. Elle est également habitée.
Cette tour couverte d’un toît à deux pans, conserve encore ses meurtrières et une partie de ses corbeaux.
Cette tour, couverte de lierre, est à l’abandon.